L’eau lévite sur le feu lyrics
by Despo Rutti
[Paroles de "L'eau lévite sur le feu" feat. Rehaab]
[Intro : Rehaab]
Trois hommes négligents ont souillé ma précieuse pierre
J'ai en moi ce prisme, il a réagi a vos aveuglante lumière
Le premier : mon prisme la réfracté
De la tièdeur de son lit à un blisard passé minuit
Un seul instant me suffit, pour me réfugier dans une rue
Le froid de ce mois de décembre apaise mes ematommes
De sa maladie faiblesse, les coups de poing était le symptôme
Si un argument adroit me vaut un coup de fouet, alors le caniveau où je pleure c'est le trône de mes nobles idée
[Couplet 1 : Despo Rutti]
Haa, pour corriger les hommes, je sers les poings et je leurs donne des coups
Elles corrige les hommes à coup d'égo, elle donne aux ennemis de leurs mecs leurs poignées d'amour
Les soldats sont vêtus de vert, les armes tuent, les vies sont perdues, les armes et le haram tue, le verre tue c'est leurs vertus
Mini-jupe, ils [?] les michtos, affaiblisse le portier, [?] les suceurs décuplent, il est recouvert de ce même portier
L'homme mise sur la force, la femme : la torture psychologique
On avale pas une guêpe nerveuse sans mouvement en tirant au mortier !
L'homme et la femme ne sont pas égaux, chacun d'eux a des pouvoirs que l'autre pleure comme une défaite
Or next bed !
《Qui se ressemble s'assemble》on dirais un slogan de la gaypride
C'est trop marrant, quand on bande on devient le sexe faible, on est pas pareil, on se complète
[Refrain : Despo Rutti]
Voix rocailleuse, contre gissement mielleux
Abdos d'acier contre gros cul moelleux
Il m'a dit "j'ai une Benz black, je peux fourrer cette go, mais ne m'excite pas"
Et, t'es qu'un remplaçant pour cette femme marié, t'es sa pute, t'es sa pute
"Tu ne gères pas" mais de quoi tu m'parle ? Éh-eh
[Interlude : Rehaab]
Mon deuxième : mon prisme la dispersé
Une petite amourette d'été dans un [relief] rocailleux
Quelque p'tit baisers volé, quelques moment légers joyeux
Il n'arrêtait pas de me demander "qui sont tes proches, qui sont tes ayeux ?"
Une amourette qui semblait naivement sans lendemain
Elle revient bombarder mes nuits de hantise et de folie, c'est le malin
Je me lave d'une eau bénite, oui
Mon destin n'est plus entre ses mains
Hin, le dernier : mon prime la refraîchit
Dans une quête de sol solide et véridique
Il me perd dans la tempête de ses allusions antinomique
Elle brasse frénétiquement entre tsunami et marée basse
Elle pousse les violentes vagues qui sur mon dos se cassent
M'avoir mise au milieu de vent contraire, m'a fait changer de continent
Je le chasse de ma vie trois fois comme un chien
J'aiguise mon instinct et mes pressentiments
[Refrain : Despo Rutti]
Voix rocailleuse, contre gissement mielleux
Abdos d'acier contre gros cul moelleux
Il m'a dit "j'ai une Benz black, je peux fourrer cette go, mais ne m'excite pas"
Et, t'es qu'un remplaçant pour cette femme marié, t'es sa pute, t'es sa pute
"Tu ne gères pas" mais de quoi tu m'parle ? Éh-eh
[Couplet 2 : Despo Rutti]
Ma puissance verbale est reconnue de Tel-Aviv à Gonesse
Vos rappeurs : pff, j'suis comme Zlatan, je les connait pas mais eux ils me connaissent
Yeah ! J'suis une galère de ouf wesh
Bave pas [?] ta connasse, son ex, sa messagerie va te mettre en stress
Les soldats ont des Famas, les femmes ont des chattes !
Tous les chiens sont prit pour cible
Quand elles se font grave bonne, que je les calcule pas, que je calcul mon cash, elles deviennent agressives
Du genre "j'suis bien coiffé, mes deux seins sont là, ma chatte aussi, mais comment est possible"
J'tuerais mon fils si ses jeans sont trop moulant
J'tuerais ma fille si elle prête à mourir pour la moula !
Argh ! Les hommes supérieurs comme moi, on pensent à autre chose qu'à baiser
Les femmes qui puent le poisson sont des poisons, j'mange rien qui sort de la mer, ils sont pêchés !
[Refrain : Despo Rutti]
Voix rocailleuse, contre gissement mielleux
Abdos d'acier contre gros cul moelleux
Il m'a dit "j'ai une Benz black, je peux fourrer cette go, mais ne m'excite pas"
Et, t'es qu'un remplaçant pour cette femme marié, t'es sa pute, t'es sa pute
"Tu ne gères pas" mais de quoi tu m'parle ? Éh-eh
[Outro : Rehaab]
Jamais deux sans trois
Vous avait été de mon prime ces trois faces
Regardez moi partir...
Je vous laisse [?] dans votre crasseuse crevasse...